Suicide, un jour comme un autre en finir avec sa petite personne tete dodelinante à droite ou à gauche balle au centre le choix est fait.
Suicider son existence un truc de ouf et pourtant ca revient au galop. Ca d'ailleurs jamais été éradiqué; l'acte. La vie la mort. Se trucider en live quand on veut et.. ou on veut. Epreuve non taxée. Choix de son moment. Choix appartenant à tous le monde. J'allais dire une certaine liberté d'agir sans devoir quoi que ce soit.
La masse vit au grè de ses existences bonnes ou moins bonnes une corde de plus à son arc pas toujours placée au bon endroit. Encore une fois la société à bon dos mais quand est-il vraiment de la société ?
Suicide. Sujet tabou en à peine 7 lettres réunissant à lui seul une fin un jour de trépas vivant jusqu'alors à plus de 200 % mais, en sous régime. Pourquoi se suicider en fait..? pourquoi se faire du mal à soi-meme ?
Qui a trouvé la réponse mis à part les memes refrains la vie, le travail, le choMduc, les poufs, les maitresses, les séparations, les morpions le train train journalier et j'allais oublier la maladie. Avons nous en possession tous les signaux de ces tragiques fins pour mémoriser et empecher ces drames humains ?
Un arret brut de chez brut quand on se rate pas. Quand tout se passe, on va dire bien mais. Mais alors, quand sait-on ? Quand la viande est froide si l'exécution, si je puis m'exprimer ainsi, est réussie comme le desespéré le cherchait. Je parle d'une représentation donnée, une pose ardemment désirée, une scène remplie d'un dernier doigt pointé ?
Oui je sais. Je m'en doute même que ce post gene. Il est morbide mais il reflète l'actuel de fait que ce mot (suicide) touche beaucoup plus qu'il n'en réchappe. Brisant énormément l'homme, fragile dans son univers. Un fil d'Ariane usé se cassant comme un verre de cristal tombant à terre.
Suicider. Un etre las, tourmenté, horrifié de sa propre life laissant derrière une trace pas toujours reluisante et bien souvent sans réponse trop bien souvent meme pour les siens. Sauf de temps en temps un passage sur un bout de papier froissé trempé détrempé de larmes ou encore souillé de sperme.
Suicider son état physique en passant de l'autre coté sans se poser de questions voire meme en une ultime jouissance quand ce mot devient jeu. Jeu érotique, corde au cou, mal placée, bandé son arc mais pas le meme. Jouir de son acte et ne plus pouvoir l'arreter car trop tard bien souvent. Que ferait-on pas pour jouir..
Suicide. Enorme palette en tous genres comme des médocs de diverses couleurs dans un grand verre sans fond. En fait, c'est choisir son ultime étape alors que la vie est comme elle est mais qui reste accessible à tous.. facile à dire.
Suicide. Plus j'avance et moins je comprends l'acte en respectant l'idée du défunt(e) qui semble demander quand meme un certain courage dans certains cas enfin à mon humble avis. Je dis cela sans voyeurisme et ou moquerie mais ce courage n'est-il pas possible de le retourner en le mettant en avant, le transformer, se relever, se battre. Avancer. Batir autre chose.. pas eu toujours le temps de poser les questions d'ailleurs aux intéressé(e)s. C'est possible surement possible, tout est possible !
La vraie question est de savoir si nous faisons un pas vers l'autre pour aider à y remédier à donner de soi, tenter de sauver un petit bout de tissu humain si fragile en extirpant un grand morceau du vide du néant déjà installé. Est-il possible de finir autrement qu'avec ce mot qui somme toute faite est à proscrire mais tient bon ? le monde et ses déviances égocentriques.
(touag..